Fait divers

Le personnel des urgences de Blackburn, en Angleterre, est selon le tabloïd Sunday Sport habitué aux blessures étranges de Ken G., un postier au chômage de 64 ans. "De temps en temps, il se coince dans quelque chose, ou se retrouve avec un objet à l'intérieur de lui", indiquent-ils au journal. "Mais la dernière fois, c'était encore plus étrange."

L'homme a en effet été admis à l'hôpital avec des engelures sur le sexe. Ivre, il venait de jeter son dévolu sur un bonhomme de neige dans un parc de loisirs.

Des blessures qui ne sont pas anodines, puisque, selon un membre de l'hôpital, "les engelures peuvent provoquer une infection, la gangrène, voire l'ampuation du membre".

Au commissariat à 2,44 g d'alcool

 À sa décharge, Aurélien Miny ne devait pas avoir toute sa lucidité au moment où il est entré au commissariat d'Avion pour voir ce qu'il en était de sa demande de restitution du permis de conduire.

Lequel lui avait été retiré pour conduite sous l'emprise d'un état alcoolique en récidive.

Mais à bien le regarder, les policiers ont remarquéqu'il sentait l'alcool et qu'une fois assis, il avait tendance à s'endormir. Pas étonnant avec 2,44 g/l de sang, et tant pis s'il était venu en scooter ! Les enquêteursontappris que le jeune homme avait bu, seul, durant la soirée et une partie de la nuit plus d'un litre et demi de vodka.

« Vous représentez un vrai danger sur la route. Vous avez déjà été condamné en 2009 pour des blessures alors que vous circuliez en état d'alcoolémie. Qu'est ce que vous attendez ? De vous retrouver face à des familles qui pleurent des victimes par votre faute », tenta de le raisonner la procureure. Jugement : six mois ferme. •

La Voix du Nord

Aujourd'hui, rare sont ceux qui ne possèdent pas d'adresse email, de profil Facebook, de compte msn (oups, c'est has-been ça), etc. Ainsi, c'est pour rendre hommage à Facebook et à son créateur Mark Zuckerberg qu'un couple d’Égyptiens a décidé d'appeler leur bébé Like.

Très fier, le père se réjouie même d'avoir été le premier à donner ce prénom à un enfant dans son pays (dans le monde ?). Bref, jusqu'où irons-nous ? Ceci n'est que le début...

Selon La Voix du Nord, les cinq étudiants roannais, de passage dans la région pour un concours, avaient été pris de bouffées délirantes et de malaises alors qu’ils étaient attablés dans un hôtel-restaurant d’Arras. Les pompiers ont rapidement compris qu’il ne s’agissait pas d’une intoxication alimentaire. L’un des étudiants avait fini par reconnaître avoir fait consommer ces "cookies" au cannabis, à leur insu, à ses camarades et à son professeur. L'apprenti-pâtissier en avait également mangé mais n’avait pas souffert des mêmes symptômes. Le jeune homme a été jugé le 02 mai à Arras. Il comparaissait pour "administration de substances nuisibles et usage illicite de stupéfiants". A l'audience, le substitut du procureur n’a finalement pas requis de peine de prison ferme mais une peine de 180 heures de travaux d'intérêt général,  assortie de six mois de sursis et d'une obligation de soins.

Alors qu'ils patrouillaient sur l’A31, dans les environs de Nancy, Les policiers de la CRS autoroutière ont eu une drôle de surprise, raconte l'Est républicain. Ils sont tombés sur un tracteur. Un fait dangereux puisque, même s’il s’agit d’un tronçon d’autoroute sans péage où la vitesse est limitée à 110 km/h, le tracteur ne pouvant pas dépasser les 40 km/h.


La patrouille a immédiatement interpellé l'individu pour se rendre compte que l’homme au volant, un agriculteur d’une trentaine d’années qui rentrait au domicile de sa compagne, était non seulement en état d’ébriété avec 2,7 grammes d’alcool dans le sang, mais n'avait plus de permis depuis le mois de mai, où il s'était fait arrêter en état d'ivresse. Depuis, il circulait en mobylette avant d’opter pour le tracteur vendredi soir. Il a fini la nuit en cellule de dégrisement, puis en garde à vue. A l’issue de son audition, il a été remis en liberté et sera jugé en novembre prochain.

Saint-Aubin : les vacanciers se font voler leur slip au camping

Les faits se sont déroulés le week-end dernier à Saint-Aubin-sur-Mer, dans le Calvados.

Les habitants d'une résidence secondaire ont eu la surprise de découvrir au petit matin une trentaine de sous-vêtements masculins sur leur balcon.
Ils se sont alors rendus à la gendarmerie avec leurs sacs remplis de slips.
Mais les militaires les ont éconduits gentiment tout en leur conseillant d'aller voir au camping voisin où là, la réceptionniste leur a confirmés qu'en effet, plusieurs estivants se sont fait voler leurs sous-vêtements masculins.
"Cela nous a fait moyennement rire, parce que les clients viennent en vacances et repartent sans slip." a indiqué la réceptionniste.

Certains vacanciers ont pu ainsi récupérer leur bien sauf ceux qui avaient déjà quitté les lieux...